Conférence sur le thème des finances locales du 27 septembre avec, de gauche à droite sur la photo, Patrick MARTINEZ, Directeur Régional de la Banque des Territoires, Denis TURREL, Président de la Communauté de Communes du Volvestre, Thierry SUAUD, Président du SDEHG et Jacques OBERTI, Député de Haute-Garonne, animée par Eric DOURNES.
Le Syndicat Départemental d’Energie de la Haute-Garonne (SDEHG) a participé aux Journées Territoriales organisées les 26 et 27 septembre 2024 à la Salle Horizon Pyrénées à Muret.
Cet événement réunit notamment l’Association des Maires de Haute-Garonne (AMF31), le CNFPT ainsi que les associations de la fonction publique. Elus, agents de la fonction publique territoriale et acteurs de nos territoires se sont retrouvés pour partager des moments d’échanges et de rencontres.
Le SDEHG a répondu présent pour participer à cet évènement. Elus et agents se sont succédé pour assurer une permanence sur le stand du SDEHG. Les sujets abordés avec les visiteurs ont porté notamment sur le développement des énergies renouvelables et la rénovation de l’éclairage public.
Le Président du SDEHG, Thierry Suaud, a été invité à intervenir aux tables rondes organisées sur le thème de l’énergie et des finances publiques.
Il a notamment pu rappeler l’engagement politique fort des élus locaux en faveur de la transition énergétique et souligner la nécessité de donner les moyens aux collectivités d’agir en la matière : « Comment voulez-vous parvenir à atteindre les objectifs de sobriété énergétique qui nécessitent d’investir 1,2 milliards d’euros pour la seule rénovation de l’éclairage public français d’ici 2030 si l’aide du Fonds vert est supprimée pour l’éclairage public et les recettes des Certificats d’Economies d’Energie (CEE) divisées par trois ? 25% du financement du programme LED++ du SDEHG qui permet aux communes d’atteindre la sobriété énergétique est impacté par ces décisions de l’Etat. On ne peut pas avoir des injonctions de faire et ensuite des moyens financiers et réglementaires qui ne permettent pas de faire ! Nos dirigeants doivent tirer les conclusions de ces obligations qui sont celles de la France et de ce que j’espère être leur volonté politique profonde. »